Page:Sauvage - Le vallon, poèmes,1913.djvu/226

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
214
le vallon


LXXVII




Ô nuit verte de la vallée,
Souviens-toi de mon pas traînant,
Que la feuille par moi frôlée
Garde dans son gémissement
Le silence d’un cœur vivant
Et sa mélodie isolée.