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le vallon
LXXXI
Mon cœur, ne te réveille pas,
Dors sous les ombres lumineuses ;
Tu n’es pas mort, tu vis tout bas
Dans la nature harmonieuse.
L’air ne semble-t-il pas dormir
Sur la campagne somnolente ?
Oh ! comme la vie est fuyante
Avec son pâle souvenir.