F. Il y a trois signes de clefs : la clef de FA, la clef d’UT et la clef de SOL.
G. Chacune des trois clefs peut occuper sur la portée diverses positions.
La clef de fa se pose sur la 4e ligne et sur la 3e ligne.
La clef d’ut sur chacune des quatre premières lignes.
La clef de sol, sur les deux premières lignes.
Ces huit positions sont actuellement réduites à sept, par suite de l’abandon de la clef de sol sur la première ligne.
H. Ces diverses positions équivalent à autant de clefs différentes.
I. Le diapason et les rapports des différentes clefs peuvent être constatés au moyen d’un son connu qui, noté dans chacune d’elles, sert de point de comparaison. (Voyez l’ex. à la page 46.)
J. On a imaginé toutes ces clefs afin de placer sur la portée la série des sons, graves ou aigus, appartenant à chaque genre de voix.
K. La clef de fa s’emploie pour le grave ; la clef de sol et la clef d’ut, 1re ligne, pour l’aigu ; la clef d’ut dans ses trois autres positions, pour le médium.
EXERCICE.
Comment représente-t-on les sons dans l’écriture musicale ? — A.
Qu’est-ce qui donne aux notes placées sur la portée
une signification précise ? — B.
Qu’est-ce qu’une clef ? Qu-indique-t-elle ? — C.
Comment la clef fait-elle connaître le nom que doit prendre
chacune des notes écrites sur la portée ? — D.
Les clefs n’ont-elles d’autre objet que de faire connaître le nom
que doivent recevoir les notes écrites sur la portée ? — E.
Combien y a-t-il de clefs ? Comment les nomme-t-on ? — F.
Sur quelles lignes de la portée se posent les différentes
clefs ? — G.