jjS LE PEÛÂN*r iove,
ordres de vous ériyurérî mais fi fèh fuis crè, VoUs blefTeiiez voftre ennemi dé fâ propre êfpéé ; Il prétend* le pauure homme, faire tantôft lés nopeés de Voftre Soeur àUéc Monsieur de là Trembkyéj & le Gôtttràct des fïénnes àuec Ktadèni’oiftlle Gëheuote : Craignant donc que voftre ptefèncén apportai !: beaucoup d obftaclesà la perfection défes défleins , il m a donne charge de vous faôùlér au Cabaret > Se ie trouuc,moy, que é’eft "vn acheminement le meilleur du mondé pour l’exécution de ce que ie vous ay tantoft mandé par celuy que ie vous ày enuoy é* 1 GRANGER leietine.
Quoy , pour contrefaire le mort ? CORBINELI.
Oiiy » car ie luy perfuaderay que dans l’efcume du U luy parle vin vous auez pris querelle, & que... Mais ville, bas à l’oreille ^{^ promptementeftudier vosPoftùres ; nousamuferons cependant, Paquier&moy, voftre Père, pour donner du temps à voftre feinte yurognerie. Vene^ icy mefme reprefenter voftre perfonnage, & nous luy ferons acroire qu’en fuite voftre querelle . . . &c.
