valeur des choses, et que dans vos définitions (page 242) vous mettez au rang des services productifs (conditions of the supply of commodities) le percentage qui représente le secours que l’industrieux tire d’un capital. Mais pourquoi refusez-vous au service de la terre, quand elle est une propriété, ce que vous accordez au service du capital ?
La doctrine de Ricardo, que le profit de la terre ne fait pas partie du prix des choses, vous fait-elle illusion ? Mais vous admettez-vous-même (page 216), aussi bien que moi, que the numbers, powers, and wants of those who wish to obtain a commodity, is the foundation of all value. Cela étant, les besoins des hommes, dans un certain état de la société, ne peuvent-ils pas être tels qu’ils mettront un prix aux services que peut rendre un fonds de terre, et qu’ils paieront en conséquence ce service à celui qui est propriétaire de la terre, de même qu’ils paient au manouvrier propriétaire de deux bras le service que deux bras peuvent rendre ?
Encore un mot, monsieur, au sujet des produits immatériels auxquels vous refusez impitoyablement le nom de produits, quoique vous-même ayez créé de beaux et bons produits de