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Page:Saynètes et Monologues, sér. 3, 1884.djvu/177

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466 LÀ lAME DE NIORT Fintention. Da morneul qae vous avez eu l’intention de lui ocre agréable, c’est le principal. Lk AAIR MB NIOBT. Ohl... Cependant... cependant... LA DJBMOISELLE. C’est votre souvenir qui le touchera. LA DAME DE NIOBT. Eh Inen, aoitl Ta poor un air de famille. ma «e rassied. Madame tient-^Ue aux mains ? LA IhUIB DE MIORT. Je passe à Niort pour avoir les maim pas mai Cefie^i, surtout. C’est un de mea petits triomphes et mon mari n’y est pas insensible. J’aimerais assez à ce qu’on me fit les mains. LA DEMOISELLE. Les deux ? LA DAME DE NIORT. Cela dépend du prix. LA DEMOISELLE. Il faut compter trois francs par doigt. LA DAME DE NIORT. C’est plus cher que des gants, savez-vou&L^ LA DEMOISELLE. Oui, mais cela duré plus longtemps. LA DAME DE NIORT. Si je dépensais pour mes mains plus d’une quinzaine de francs, ce ne serait pas raisonnable.