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Page:Saynètes et Monologues, sér. 3, 1884.djvu/185

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174 LA DAMS DS NIORT Il prétend qne ce sera aDsaitdt fait, (uo eoaunû wnre k potie d«  l’ateUer et prend le portrait.) Madame peUt monter. Pendent que U demoieelle a donné ees ordrea à l’atelier, la dame de Niort, derant la ehemmée, l’est préparée à poser. •— Bile le retoome bmaqaemeBt lee pemmetles reagiee, lea Mudls d’an noir exagCri, ele. LA DAME DE NIORT. Suis-je bien comme cela ? LA DEMOISELLE. Un vrai Rabens !... (a part.) Après les retonches. (u demoiseii* onTre U porte de TateUer.) Par ici, madame, par ici. Madame prendra garde... Il y a cent vingt-cinq marches à monter. LA DAHE DE NIORT, épooraMée. Cent vingt-cinq marches !... bonté divine !... LA MSIIOIBELLB. Plus on est près du soleii, plus le jour est beau et mieux la peinture réussit. LA DAME DE NIORT. Allons ! Vous faites de moi toui ce que vous voulez. Vous enverrez mon portrait, hôtel de la Perfide Albion^ ce soir, af ant huit heures. LA DEMOISELLE. Il sera chez vous à sept heures cinquante-neuf, au plus tard. LA DAME DE NIORT, aveo nn soupir. Allons ! je monte... Yous dites : cent vingt-ciaa OArdiest UL DEMOISELLE. Environ... LA DAME DE NIORT. Vous M’oublierez pas de faire ratoucber k atgEator» do Rubens. Elle n’est pas lisible.