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Page:Saynètes et Monologues, sér. 3, 1884.djvu/202

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MONSIEUR GAMBREFORT

SCÈNE I

LÉON, mqI, éoi

€ ... J’ai en Uxri devons appeler vieil fine. Je déclare que le mot m’est échappé dans un mouvement de colère (paiié.) contre lei baudets. (ÉeriTut.) Je relire le mot. (Pari«) C’est tout ce que je puis faire, malheureusement. (Éeriruit.) Les liens qui vont nous rapprocher, me rendent bien douce cette démarche. .. spontanée, (pwié.) O vérité ! qu’il fait froid dans ton puits. (Émivwt.) Je suis, monsieur, etc..» (p»]^) L’adresse maintenant, (âmrwt.) Monsieur Hadlnier. (Paiié.) Qualités : Ma foi, je ne lui en sais qu’une, c’est d’être l’oncle de Mathilde, et Mathilde n’a qu’un défaut, c’est d’être la nièce de Madinier» et de m’avoir ordonné d’écrire cette lettre d’excuses, (n MièT* «t mti^ao,m vm porte à gradie.) Pierre, portoz cette lettre à son adresse, au grand galop. Vous dites ?... vous êtes seul... personne pourouvrir... Eh bien J’ouvrirai, moi... Allez vite... vite... (B n i w— k p«rte t paHe m marehant.) L’hiVOr dernier, après des péripéties qui rempliraient un in-quarto, une charmante jeune fille que j’adorais de loin, daigna consentir à abréger la distance. Ce fut céleste... jusqu’ai ?^ jour de mon admission comme prétendu. Je retrouvai mes dix-huit ans... avec les avantages de l’expérience et de htcom*