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Page:Saynètes et Monologues, sér. 3, 1884.djvu/255

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244 LE COMMENCEMENT DE LA FIN aONTRAN, effrayé. C’est ma belle-mërel... Elle vient me chercher !... Il ne faut pas qae... (Midi Mnae.) Parbleu ! midi !... Adieu Baptiste ! ... BAPTISTE. Monsieur fera attention à monsieur Patinais qui est couché en travers de la porte. CONTRAN. Dussé-je lui passer sur le corps I BAPTISTE. Monsieur y sera bien forcé. CONTRAN. Misérable Patinais ! Il sort. — On entend la porte qni la forme, pnii on immense bàiflement à la cantonade, enfin ces oris : GoUtraU ! GoUtraul j’ai faim ! BAPTISTE. Il était temps l... Ridata. riK DU GOIiaUlICBMIRT I» Là fh