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Page:Saynètes et Monologues, sér. 3, 1884.djvu/33

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22 INFANTERIE ET CJLTALERIE SIMON, Ça ne sera pas tong... (iitir6ioii«bre.) En garde, mon petit voltigeor. MÂTHIÀS. En garde, mon grand cuirassier ! (U essaie Tùnement de tirer son •abre.) Gré III Aido-moi donc à tirer mon sabre... Il est rouillé dans le fourreau. SIMON, roidant à dégainer. . Prends garde de lui ressembler. Ils fe mettent en garde. MATHIAS. Nous verrons bien 1 (ns ferraillent. Tout à oonp Mathiaa rompt la garde «t se frappe le front.) Tonnorre ! sommes-nous bétesl SIMON. Tu recules ? MATHIAS. Non pas, morbleu I mais nous ne sommes pas des vaga< bonds pour nous battre ainsi sans faire nos testaments. Donne-moi de l’encre et du papier. SIMON* C’est juste. En voilà. MATHIAS, de m«me. Merci, (ns s’asseoient ohaean de lear c6té et écriTent.) écrlVOUS. SIMON. Ecrivons. MATHIAS. As-tu fini, tête de mule ? SIMON. Oui, tête de baudet. Ilfl poaent lenri testaments sur la table. MATHIAS. Eh bienl reprenons la conversation. (lu se remettent en gw^