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Page:Saynètes et Monologues, sér. 3, 1884.djvu/72

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LE NEVEU DE LA MARQUISE 61 aOGBB. Bah ! nous ferons vite connaissance... LA BfARQUISB. Je n’en ai nulle envie, monsieur, et ne sois point habi* xiée à être traitée de la sorte : je vous prie de vous retirer. BOGER. Meretirerl... ah, que nenni, par exemplel... j’ai déjà eu assez de mal à pénétrer dans la place pour Fabandonne** anssi facilement et aussitôt. LA MARQUISE. Comment ! vous prétendez demeurer chez moi, malgré moi ?... ROGER. Malgré tous !... non pas, idéale princesse, mais bien avec votre consentement que vous allez me donner tout de suite, en acceptant que je vous offre à souper ce soir et ici même... LA MARQUISE. A souperl... Timpertinent !... Eh bien, monsieur, puisque vous ne voulez pas partir, c’est moi qui vais vous céder la place et je ne rentrerai dans ce salon, je vous le jure, que lorsqu’il vous aura plu d’en sortir... Viens, Lisette, et laissons monsieur à ses réflexions. LISETTE, à part. Cela mettra peut-être, d’ailleurs, un peu d’eau dans son vlnl... SCÈNE V ROGER, seul, d^ppointé. Diable ! voilà qui commence mal et mes cinq cents louis III* 4