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Pages.
Tous les Loups sont frère. (Godard, sculp.
 255
Maintenant je comprends la Louve mère de Rome (Brévière, sculp.
 258
Que dites-vous de la chasse aux Papillons ? (Andrew, Best et Leloir, sculp.
 266
Je fus ignominieusement arrêté. (Godard, sculp.
 272
Le propriétaire, revêtu d’une haute dignité municipale. (Andrew, Best et Leloir, sculp.
 Ibid.
Je les engageai à manger quelques œufs à la coque. (Godard, sculp.
 277
Elle a répondu à mes protestations et à mes serments par un ton de raillerie si froide, que j’ai juré de mourir. (Godard, sculp.
 281
Mon héros était bon à pendre. (Godard, sculp.
 282
Plus le drame est beau, plus l’orchestre est triste à entendre. (Caqué, sculp.
 288
On a eu grand tort d’ôter à nos poëtes la muselière classique. (Brévière, sculp.
 289
Et pourtant on ajoute que, hors du théâtre, ces Animaux-là sont encore plus laids. (Godard, sculp.
 291
Il a du chique, comme on dit dans les journaux consacrés aux beaux-arts. (Tamisier
 295
À cet affreux récit, voilà Zémire qui se jette aux pieds d’Azor. (Godard, sculp.
 298
Le Tigre entrait à pas de Loup, le poignard à la main. (Godard, sculp.
 299
J’étais veuve ! (Brévière, sculp.
 312
Je pris d’abord une note, puis deux, puis trois, puis mille. (Andrew, Best et Leloir, sculp.
 314
Un banquier. (Tamisier, sculp.
 316
Un de ces chasseurs novices pour lesquels rien n’est sacré. (Caqué, sculp.
 318
Madame la Duchesse chante un nocturne avec monsieur le Duc, et dans ces moments-là, elle n’entend pas qu’on la dérange. (Brévière, sculp.
 320
Cette vieille cour appartenait à un vieux Faucon qui n’avait pas grand’chose, parce que les révolutions l’avaient ruiné. (Brévière, sculp.
 322
Et un Mulot très-entêté était parvenu à se creuser, malgré toutes les difficultés… (Brévière, sculp.
 323