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Page:Scènes de la vie privée et publique des animaux, tome 2.djvu/32

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u Je le diÏ-«rlzirc : il ne nous reste mfuitc nrsstrlltïï‘. 1'351 l4‘ ITPIIVIIÙ

des rédacteurs... Hourra pour le renvoi!

—— Tonnerre crapule udissemcnts. —

u Frères, il faut que les mots uillent où vu lu pcflsét‘, — et si désolant qu'il soit pour vous de l'entendre et pour moi de le dire, je le dirai et vous Pentcndrez: tout ce qui existe n'est bon qu'à aller en ruines et ce serait mieux s'il n'existait rient... Que notis u servi et: qu'on nous a fuit faire‘? Cc livre publie, dites, à quoi n-t-il servi?

—- Tous t n à rien, à rien. u «—

«- Cette lice où chacun devait entrer, le plus humble colonie le plus grand, pourquoi ne l'ont-ou ouverte qu'aux plaintes isolées d'un petit nombre? sinon [tour C-loigner de lu tribune nationale les cris de la détresse universelle. Ils n'ont travaille que pour eux. — Ils n'ont. songé qu'il eux, —-et quund ils se sont vus tiuissants, ils ont dit : — Tout est bien.

u Que nous revient-il de leur puissant-e? Notre terre à nuits

zi-t-elle d'être une vallée de larmes ?

— Le (leur, l’ ÉLAN et le Venu : a Non! non! o —

u Frères, on u étouffe les voix généreuses qui ont voulu s'élever en faveur de la reforme bête-unitaire.

u Frères, notre régénération sociale. Ifu pus fait un pus depuis rimmortelle nuit où les premiers efforts de notre liberté naissante ont été salués par les ecclamations de la terre tout entière.

a Frères, nos réducteurs en chef ont trahi leur mandat! ils nous ont vendus! vendus aux Hommes!

— Tous : u C'est vrai! c'est vrai! oui, on nous .1 vendus! n --