Page:Scènes de la vie privée et publique des animaux, tome 2.djvu/69

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Et les Fleurs, captives dans leur prison de verre, voyant ce qui se passait au-dessus de leur tète, ne savaient que

penser de ces abominables fureurs.

L'aile droite plia la première. Le pied ayant glisse au co- lonel des HANNETONS, un des plus braves off‍iciers de l'armée, dans un effort qu’il faisait pour dégager un peloton qui s’était laisse entourer, il roula dans la gouttière d’une façon si fâcheuse, qu'il tomba sur le dos, ce qui est le plus grand malheur qui puisse arriver a un Htuneron. Une Guàra de l'armée ennemie u’eut pas honte d’abuser de la position d’un adversaire sans défense, et elle lui passa son dard au travers du corps.

A cette vue, le régiment que commandait le colonel se debanda. Le prince Bounuon essaya, mais en vain, d’ar- fêter les fuyards. C’e7tait une bataille perdue, le Waterloo

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