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Page:Scève - Délie, 1862.djvu/39

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Quand l’oeil aux champs est d’éclairs ébloui, Lui semble nuit quelque part, qu’il regarde : Puis peu à peu de clarté réjoui, Des soudains feux du Ciel se contregarde. Mais moi conduit dessous la sauvegarde De cette tienne et unique lumière, Qui m’offusqua ma liesse première Par tes doux rais aiguëment suivis, Ne me perds plus en vue coutumière. Car seulement pour t’adorer je vis. XXV Tu fais, crael, fes penfées meurdrieres Du bien, donc fuis, long temps à, pourfuyuan Tu la renâzfourde a mes chajfcs prières, Tant que mon mat efi a moyfuruiuant. Tu fais foubdain , érdeffois, moyviuant.