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Page:Scarron - Théâtre complet, tome 3, 1775.djvu/334

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Que le solide jugement

De ma maîtresse me dédaigne.

Mais je n'oserais l'aller voir,

Ainsi que le veut mon devoir :

J'appréhende les étrivières,

Je redoute que son époux,

Sachant que je retiens ses beautés prisonnières,

Ne me brise les os de mille horribles coups.