son vivant. Son acte de baptême est toutefois du 20 juin[1].
Les ordonnances royales[2] avaient prescrit aux curés d’indiquer sur leurs registres le jour et le temps de la nativité des enfants. L’acte de baptême de Quesnay est muet à cet égard, ainsi que beaucoup d’autres, mais ordinairement le baptême se faisait le lendemain ou le surlendemain de la naissance et non seize jours après. La date du 4 juin est donc douteuse.
Les panégyristes ont raconté, d’après la note d’Hévin, que le père de Quesnay, Nicolas, était avocat.
Dans son contrat de mariage[3], Nicolas Quesnay est désigné comme marchand ; dans l’acte de baptême de l’un de ses enfants, il est dit « garde-plaine de S. M. » ; dans d’autres actes de baptême[4], notamment dans celui de son fils François, il est qualifié : « receveur de l’abbaye de Saint-Magloire ». À partir de