An chirurgia pars medicinæ certior ? Ce fut Quesnay qui lui répondit au nom des chirurgiens[1].
Nous avons avancé que ses biographes ont donné peu d’indications sur sa participation à la défense des chirurgiens contre la Faculté. D’Albon, Romance, n’en disent rien ; Grandjean de Fouchy se borne à ce paragraphe :
« Il eut la plus grande part non seulement aux ouvrages polémiques, mais encore aux mémoires juridiques qui parurent pendant l’intervalle de sept ans que dura cette grande affaire ; le chirurgien devint antiquaire, jurisconsulte, historien. Parmi tous les ouvrages que les circonstances exigèrent de lui, celui qu’il affectionna le plus était l’écrit imprimé en 1748 et intitulé : Examen impartial des contestations. Ce n’était pas sûrement le temps qu’il y avait employé qui lui avait inspiré cette affection, car il fut conçu et exécuté en dix ou douze jours ».
Dans la note manuscrite dont Grandjean
- ↑ Dans les Observations sur les écrits des modernes.