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Page:Scherer - Diderot, 1880.djvu/18

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Diderot, et ce zèle, cette conscience, ce besoin d’exactitude qu’exigeait avant tout une pareille tâche. Malheureusement M. Assézat, qui était atteint d’une maladie de cœur, devint plus souffrant lorsqu’il n’avait guère achevé que la moitié de sa tâche, et il mourut après la publication du seizième volume. Il a été suppléé, pour la fin de l’édition, par l’un de ses collaborateurs, M. Maurice Tourneux, qui s’est acquitté de son travail dans le même esprit que son prédécesseur. Toutefois la mort de M. Assézat nous a privés de l’étude sur Diderot qui nous avait été promise. Peut-être faut-il mettre également sur le compte du changement de mains quelques autres défauts de l’édition. C’est ainsi que le portrait de Diderot par la princesse Dashkof, annoncé dans une note du premier volume, a