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rance des faits sur lesquels je vous interrogeais. C’est encore pour cela que je vous demandai compte des fautes de sa jeunesse, et si la vie du marquis avait toujours été parfaitement régulière. Je formai mon plan d’après vos réponses.
Vous m’avez donné, dit alors le prince après quelques momens de silence, des éclaircissemens suffisans sur ce qui s’est passé entre nous ; mais il reste un point intéressant sur lequel je vous prierai maintenant de me donner quelque lumière. —
Si cela est en ma puissance, et si…
Point de conditions. Vous êtes entre les mains de la justice ; croyez-moi, elle ne vous questionnera pas avec les mêmes ménagemens que je