Page:Schiller - Le Nécromancien ou le Prince à Venise, tome second.djvu/122

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lettres de change de notre cour, que nous avons si longtemps attendues ; mais elles étaient accompagnées d’une lettre qui a mis le prince en fureur. On le rappelle, et cela avec un ton auquel il n’est pas accoutumé, et qui ne réussira pas avec lui. Il a répondu sur-le-champ, et il reste. L’argent qu’on lui envoie suffira pour payer les intérêts des sommes qu’il a empruntées. Nous attendons avec impatience une lettre de sa sœur.