Page:Schoebel - L’Éternité et la consommation des temps.djvu/10

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proposition, et vous l’avez acceptée avec cette bienveillance que je vous ai toujours connue. Je vous en remercie cordialement, et, sans chercher à revêtir ce sentiment d’un langage auquel répugnent la modestie de votre cœur et la simplicité de vos goûts, je désire vivement que la lecture de cet ouvrage puisse répondre, comme autrefois mes paroles, à vos pensées et à vos aspirations.

A vous de cœur,
C. SCHŒBEL, 
professeur.  

Paris, décembre 1853.