Page:Schopenhauer - Pensées et Fragments, 1900, trad. Bourdeau.djvu/214

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

femmes les plus intelligentes et les plus fines. Cette proposition est mon utopie et ma république de Platon [1]. —(P. II. 273.)

  1. ↑ M. Renan expose une idée pareille dans ses Dialogues philosophiques.
    (Note du traducteur.)
Récupérée de « https://fr.wikisource.org/w/index.php?title=Page:Schopenhauer_-_Pensées_et_Fragments,_1900,_trad._Bourdeau.djvu/214&oldid=8561866 »