Page:Schopenhauer - Pensées et Fragments, 1900, trad. Bourdeau.djvu/225

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folie et de perversités de toutes sortes et de toutes grandeurs ; enfin une corruption sordide, fruit et résultat d’habitudes dégradantes ; aussi je me détourne d’eux et je fuis vers la nature heureux d’y rencontrer les bêtes. — (N. 431.)