Page:Schwob - Cœur double, Ollendorff, 1891.djvu/288

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profil maigre, elle pleura : « T’as tué ton daron, mon homme, t’as tué ton daron ! »

Dans la minute, ils furent sur leurs pieds et s’enfuirent vers la nuit, laissant derrière eux la ligne sanglante de la carrière.