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ccupent, ne peut s’empêcher de sourire.
— Quoi donc, dit-il, le page avoit une grâce angélique, un front noble, des cheveux ondoyans ; et Bonald s’est prosterné devant lui ! Dans ce cas, nous aurons besoin de l’Église. Que mon chapelain soit averti avant que ces étranges nouvelles se répandent plus loin ; qu’il aille à Cambuskenneth, et dispose l’autel pour célébrer une messe solennelle. Mon peuple remerciera le ciel de son heureuse délivrance ; mais qu’une autre cérémonie se prépare pour célébrer l’hymen d’un prince. Nous avons, aux jours de nos disgrâces, interrompu la fête nuptiale ; je veux, avant le retour de l’aurore, assister à l’hymen de la fille de Lorn.
Conclusion.