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LES PURITAINS D’ÉCOSSE

— C’est que, mon oncle, répondit-elle en hésitant, je… je ne savais pas trop si… s’il était convenable que…

— Que vous prissiez intérêt à un presbytérien, n’est-ce pas ? Mais j’ai été l’ami du père de ce jeune homme : c’était un brave militaire ; s’il a pris une fois les armes pour la mauvaise cause, il les a aussi portées pour la bonne. Au surplus, vous avez eu raison de ne pas parler de cette affaire à votre grand’mère, et comptez que j’en ferai autant. Je trouverai le moment de dire un mot à Claverhouse. — Mais on va déjeuner, suivons-les.