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deuxième couplet.
ALFRED.
Oui, ce moment me rappelle
Des souvenirs bien plus doux !
(Il la serre dans ses bras.)
AMÉLIE, émue.
Quelle contrainte cruelle !
Mais, Alfred, y pensez-vous ?
ALFRED.
S’il est vrai que ce soit elle,
Ne suis-je plus son époux ?
AMÉLIE.
Mais, au fait, c’est mon époux.
ALFRED, vivement.
Non, non, jamais mon Amélie
Si long-temps n’eût pu résister
À son amant qui la supplie.
(Il l’embrasse.)
AMÉLIE.
Il ne faut pas l’irriter. (bis.)
(Alfred tombe à ses genoux.)
Scène XVIII.
Les précédens ; LE BARON, CRESCENDO, TOMY
dans le fond.
dans le fond.
AMÉLIE.
Mon oncle ! n’approchez pas ! il n’y a que moi…
ALFRED, se relevant.
Venez, venez, mon cher oncle.