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DENNEVILLE.
Tu as peut-être raison.
GERVAULT, avec chaleur.
Oui, sans doute, et si vous voulez m’en croire…
(Edmond entre en ce moment.)
Scène II.
EDMOND, DENNEVILLE, GERVAULT.
DENNEVILLE, apercevant Edmond.
Eh ! le voilà, ce cher ami !
GERVAULT.
C’est fini, tous mes calculs sont renversés.
DENNEVILLE.
Je t’attendais avec impatience !
EDMOND.
Ce n’est pas ma faute ; je rentre à l’instant, et reçois ta lettre.
DENNEVILLE.
J’ai tant de choses à te confier ! (à Gervault.) Mon cher Gervault !
Air : Ces postillons sont d’une maladresse.
N’oubliez pas ce courier, cela presse :
Dans un instant il faut qu’il soit parti.
(Il va auprès de la cheminée avec Edmond ; ils causent bas.)
GERVAULT.
J’entends, monsieur, j’entends, et je vous laisse
Avec votre meilleur ami,