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MADAME DE WURTZBOURG.
Au fait, c’est elle que cela regarde.
Scène II.
Les précédens ; HÉLÈNE, entrant par le fond.
M. DE WURTZBOURG.
Approchez, ma chère Hélène, approchez ; d’où venez-vous ?
HÉLÈNE.
Du jardin, où je me promène depuis une heure… depuis mon arrivée.
M. DE WURTZBOURG.
Il me semble qu’elle a les yeux rouges.
HÉLÈNE.
Non, mon oncle.
MADAME DE WURTZBOURG.
Vous avez pleuré.
HÉLÈNE.
Un peu, mais sans raisons, sans motifs.
MADAME DE WURTZBOURG.
Pauvre enfant ! un pressentiment. Écoutez-moi, ma chère amie ; au dernier bal, où nous avons été ensemble à la ville, vous avez remarqué un jeune homme qui ne vous a pas quittée ?
HÉLÈNE.
Lequel, ma tante ?
M. DE WURTZBOURG.
C’est-à-dire qu’il y avait foule.