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Page:Scribe - Théâtre, 12.djvu/334

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HANTZ.

Il causait avec la maîtresse de la maison, madame de Wurtzbourg, et il était question de vous. Il paraît que cette femme-là vous en veut, et ne peut pas vous souffrir.

REYNOLDS.

Après…

HANTZ.

Et l’officier disait en vous apostrophant :

Air : Ces postillons sont d’une maladresse.

« Puisque tu tiens à former cette chaîne,
« Maudit savant ! par moi tu trouveras,
« Auprès de ta nouvelle Hélène,
« Le sort heureux d’un nouveau… Ménélas. »
Qu’est qu’ça veut dir’? je ne le comprends pas.

REYNOLDS.
Moi, je comprends.Tremblez ; car, je le gage,
HANTZ.

Moi, je comprends.Tremblez ; car, je le gage,
On vous prépare encor quelques échecs :
C’est du nouveau.Du tout ; ancien usage,

REYNOLDS.

C’est du nouveau.Du tout ; ancien usage,
Renouvelé des Grecs.

Et tu dis donc qu’il a l’air bien amoureux ?

HANTZ.

Oui, monsieur.

REYNOLDS.

Pauvre jeune homme ! et tu dis que la tante ne veut pas de moi pour son neveu, et qu’elle me déteste ?