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Hélène, que je ne pourrai jamais en rencontrer une pareille ?
HÉLÈNE.
Je ne sais.
REYNOLDS.
Vous n’en connaisses pas ?
HÉLÈNE, baissant les yeux.
Une peut-être… (Vivement.) Mais c’est impossible, il ne faut pas y penser.
REYNOLDS.
Et pourquoi donc ?
HÉLÈNE.
Parce qu’on la destine à ce comte de Frankeinsten que je ne puis souffrir.
REYNOLDS, transporté.
Est-il possible ! ah ! je suis trop heureux ! et après un tel aveu, apprenez, ma chère Hélène…
(Dans ce moment, Frédéric, entrant brusquement, se jette dans les bras de Reynolds et l’embrasse.)
Scène VIII.
HÉLÈNE, FRÉDÉRIC, REYNOLDS.
FRÉDÉRIC.
Ah ! monsieur, que de bontés, et comment vous remercier…
REYNOLDS, à part, avec embarras.
Dieu !… celui-là auquel je ne pensais plus.