Vos torts ; je veux bien les oublier ; mais ma nièce…
Ah ! mon oncle, je suis comme vous, je n’ai pas de rancune.
Quoi ? Monsieur, vous êtes le porteur de ma lettre de change ?
Oui, Monsieur, je suis votre créancier ; et comme tel, je vous laisse le choix d’être mon prisonnier en épousant, ou libre en restant garçon.
Monsieur, touchez là : je reste libre et célibataire.
Quoi ! Monsieur, vous aviez votre raison.
Non pas, et j’atteste toujours…
C’est inutile.
J’atteste que la raison lui est revenue.
Et pour vous le prouver, Monsieur, je n’abuserai point de votre position : vous prendrez, pour vous acquitter, tout le temps que vous jugerez convenable, et je ne veux d’autre sûreté que votre parole…
Jeune homme, qui que vous soyez, cette action-là