moi la place de secrétaire et cinq mille francs de traitement… (À part.) On m’avait bien dit qu’avec des protections on arrivait à tout.
On va vous conduire à votre appartement. Je vous engage à faire un peu de toilette. Vous trouverez tout ce qu’il vous faut, habit, veste, culotte.
Oh ! pour des vestes, j’en ai.
Je vous salue. (Lui parlant pendant qu’il est dehors.) £h bien ! où allez-vous donc ? vous descendez. Ce n’est pas cela, c’est au premier ; bien ! vous y voilà. Si je l’avais laissé faire, il allait tout droit à la cuisine. Je suis fort content de notre secrétaire ; mon coup d’œil ne me trompe jamais ; c’est un homme du premier mérite. Allons, allons, grâce à moi, voilà la maison de l’ambassadeur qui se monte-joliment ; il ne nous manque plus que notre cuisinier ; et quand monsieur le vicomte voudra nous présenter son protégé…
Scène IX.
Voilà sans doute l’intendant dont Élise m’a parlé.
Qu’y a-t-il pour votre service ?