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DE LA DURANDIÈRE, dans la coulisse.
Ah, ventrebleu, il a bien fait de se garer !
M. DE GERVAL.
Tiens, c’est lui-même !
Scène VI.
Les précédens ; DE LA DURANDIÈRE,
en habit bleu, pantalon blanc,
une cravache à la main, et d’énormes moustaches.
en habit bleu, pantalon blanc,
une cravache à la main, et d’énormes moustaches.
DE LA DURANDIÈRE.
Eh bien, qu’on lui donne quelques écus, et que cela finisse ! Tiens, voilà ma bourse. Mon cher capitaine, et vous, belle dame, j’ai bien l’honneur d’être le vôtre dans toute l’acception du mot.
M. DE GERVAL.
Mon cher de La Durandière, qu’avez-vous donc ?
DE LA DURANDIÈRE.
Des faquins de voituriers qui ne voulaient pas se ranger, et je les ai accrochés de la belle manière. Imaginez-vous qu’ils n’étaient pas encore contens, et que j’ai été obligé de leur couper la figure avec ma cravache.
M. DE GERVAL.
Mais cet argent dont vous parliez ?
DE LA DURANDIÈRE.
C’est qu’ils se fâchaient, quoique battus ; et vous savez que nous autres, après la victoire… Moi, j’ai naturellement de l’estime pour mes ennemis, et j’ai