Le vôtre ?
Jamais… de ce côté-là, je dois lui rendre justice ; mais, continuez. Lord Ephelston…
Se soumit à la volonté paternelle… il se maria ! Moi, je jurai de rester libre ; je tins parole ; je refusai tous les partis ; et quelques années après, lorsque, par des événemens trop longs à vous raconter, lord Ephelston eut perdu sa femme et son fils, maître de sa main, il me l’offrit : je l’acceptai…
Je ne vois pas alors les circonstances malheureuses dont vous parlez…
Confians dans notre tendresse, dans notre foi mutuelle, nous nous regardions comme époux ! Pour consacrer cette union, nous n’attendions que le temps voulu par les convenances du veuvage, lorsqu’un événement affreux… lord Ephelston, blessé mortellement dans une partie de chasse…
Ah ! mon Dieu !…
Expira… sans avoir pu réparer… une imprudence que le soin de ma réputation me força de cacher à tous les yeux…
Je comprends…