Dieu ! ai-je bien fait de payer pour mon oncle ; car sans cela, c’aurait été tout de même.
Fi ! monsieur ; je connais votre conduite, et c’est pour cela que je romps avec vous et que j’épouse mon cousin.
C’est ça : il faut que cet autre revienne de l’autre monde, exprès pour me souffler ma maîtresse. Avec ces inventions-là, on ne sait plus sur quoi compter.
J’espère que nous avons tenu notre promesse.
Oui ; mais c’est égal, voilà deux hommes très dangereux, et j’ai bien fait de les signaler au corrégidor, qui viendra demain les arrêter.
Vous avez raison ; c’est plus prudent.
Ah, monsieur, comment vous remercier ? J’espère que vous resterez long-temps avec nous.
Oui, certainement ; oui, ma belle enfant.
Non pas. Nous nous reverrons, mais autre part ; car demain on doit venir vous arrêter.
Merci. (Haut, à tout le monde qui l’entoure.) Oui, mes amis,