Page:Scudéry - Artamène ou le Grand Cyrus, première partie, 1654.djvu/584

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voulut avec adresse demander à Artamene, s’il ne pouvoit rien pour son service : voulant luy faire entendre, qu’il estoit capable d’entreprendre de le delivrer. Mais il le remercia en l’embrassant : & luy fit connoistre que sa prison n’estoit pas son plus grand malheur : & qu’il n’en vouloit sortir, que par la mesme main qui l’y avoit mis.


Fin de la première Partie.