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Page:Segalen - Peintures, 1918.djvu/102

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soient porteurs accrédités d’ambassades… simplement, des marchands bien avisés !

Qu’on les laisse partout passer en paix. Ils témoignent du retentissement reculé et du son de l’Empire. Qu’ils aillent donc jusqu’au Palais du Milieu où Ses regards s’amuseront peut-être de leurs faces ; jusqu’au jour, où, convaincus de fausses pesées, de négoces défendus, ils porteront dans les prisons basses le dernier tribut de leur sang et de leurs os mélangés. — Et laissons les vite en arrière.