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Page:Segalen - Stèles.djvu/127

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Si, détournés de l’air doux aux poitrines ils s’enfoncent dans la pierre ; si, fuyant la lumière, ils donnent dans la profondeur solide,

C’est, clairement, pour être lus au revers de l’espace, — lieu sans routes où cheminent fixement les yeux du mort.