Page:Segard - Hymnes profanes, 1894.djvu/107

La bibliothèque libre.
Cette page n’est pas destinée à être corrigée.
 Les corrections sont expliquées en page de discussion

TABLE DES MATIERES

Ce cœur mort, le voilà qui renaît de ses cendres
Tu m’apparus un soir de la jeune saison
Chanson
Quand tu chantais, Manon
Vos yeux sont une émeraude filagrammée
Chanson
Sur le chemin
Je l’aime !
Ô Reine qui parais une déesse antique
In amore fortitudo
Hymne triomphal
Aubade à l’étoile
Dans son boudoir tendu de blanc
Pour la coquette qui ne sourit qu’à son miroir
Lorsque je vous ai rencontrée
Séparation
Pour perdre ton souvenir
Si j’ai trop aimé celle qui me peine
J’étais malade et seul
Je ne distingue plus l’ange ou la courtisane
Notre Dame la Nuit
Invocation
Crépuscule emmi les ruines
Feux follets
Mélopée
Après trois mois
La gorge ardente
Les Illusions
Hic desperatus
Les Funérailles
Hymne à la Solitude
Épilogue symbolique