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Page:Segard - Hymnes profanes, 1894.djvu/29

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Ô Muse ! c’est à toi que je voûrai ma vie,
Console de tes chants ma pauvre âme affaiblie
Par de trop longs combats contre un amour vainqueur,

Sois ma consolatrice, ô Muse enchanteresse,
Ne m’abandonne pas à ma propre faiblesse
Car je ne pourrais plus faire taire mon cœur !