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Page:Segard - Hymnes profanes, 1894.djvu/33

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C’est alors que perdus sur la mer en furie
Les Bretons en danger songent à leur patrie
Et s’imaginent voir Celle qui les attend.

Ils savent qu’elle prie en ces minutes même
Et que, si loin qu’ils soient, à ce moment suprême,
Leurs prières toujours s’unissent un instant !