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Page:Segard - Hymnes profanes, 1894.djvu/67

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Lentement le crépuscule
Étrange s’appesantit,
Il se glisse, rampe, ondule
En ce calme qui grandit,

Et je rêve que ruisselle
Des balustrades d’or fin
Le mystérieux et frêle
Prélude de Lohengrin !