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Page:Segard - Hymnes profanes, 1894.djvu/69

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Ah ! spectres oubliés de nos amours défunts,
Cruels évocateurs des lointaines années,
Fantômes de nos maîtresses abandonnées !

Fugitives blancheurs, feux follets importuns,
Quand vous disparaissez dans les nuits embrumées,
Il y pleure des voix que nous avons aimées !