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Page:Segard - Hymnes profanes, 1894.djvu/81

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Dans la tourmente horrible elle emporte l’oiseau,
L’écrase sur le sol et ne fait qu’un lambeau
Roulé par tous les vents des plumes irisées.

Hélas ! tel est le sort de ces illusions
Que dans le fond du cœur, très doux, nous caressions
Et que la vie, impitoyable, a dispersées !