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Page:Segard - Le Mirage perpétuel, 1903.djvu/66

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Il s’est fait en lui-même un enclos plus désert
Que son île torride et que la vaste mer,
La torpeur de l’oubli succède à la tempête ;

Et pourtant, quand l’orage a déchaîné le vent,
Certains soirs, il entend mugir dans l’Océan
Des peuples déchaînés qui demandent sa tête.