Page:Segur - Les Deux Nigauds.djvu/221

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les uns pour la femme, les autres pour les enfants. La femme les tarabustait, les menaçait de les faire arrêter comme vagabonds, et terrifiait de plus en plus les enfants, qui finirent par pleurer et appeler à leur secours Coz et leur bonne.


Ils s’assirent devant le guignol. (Page 204.)

« Ça n’a pas de bon sens de tourmenter ainsi ces enfants, dit une bonne femme avec un panier sous