dans l’estomac. Il paraît que M. Lépreux, l’architecte, mange merveilleusement, comme quatre pour le moins. Il a l’air d’un excellent homme, fatiguant à cause de sa surdité ; Émile espère le rembarquer ce soir même ; je voudrais pour ce pauvre homme qu’il couchât ici et ne partît que demain. Adieu, ma très chère Minette, je t’embrasse tendrement au galop, m’étant laissée attarder. J’ai donné à Émile mon chariot, qui lui sera très commode et dont je me passe parfaitement…
Chère Minette… Je n’ai qu’une minute pour t’embrasser et pour te dire combien je suis heureuse de cette acquisition d’Émile ; je n’osais l’espérer, tant c’était charmant pour moi ! Adieu, mon enfant… Je t’envoie par Émile les charmantes lettres de L. Veuillot et une charmante lettre de mon oncle Philippe de Ségur. Tu l’ajouteras à ta collection de famille.
Chère Minette, voici une lettre de ta tante Narishkine ; … Je t’ai répondu hier pour mon