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Le Publicain, au contraire, était entré d’un air humble ; il n’avait pas osé avancer jusqu’au milieu du temple, il n’osait pas lever les yeux au ciel ; mais il restait à genoux, frappant sa poitrine et disant du fond de son cœur : « Mon Dieu, ayez pitié de moi, parce que je suis un pécheur, un pauvre misérable pécheur. Mon Dieu, pardonnez-moi. » — « Je vous déclare, dit Jésus, que lorsqu’ils s’en retournèrent tous les deux, Dieu avait pardonné au Publicain tous ses péchés et l’avait béni, tandis que le Pharisien resta avec tous ses péchés et maudit de Dieu à cause de son orgueil. C’est ainsi que tous ceux qui veulent s’élever